Hier, l’État Français a reçu un nouvel avis motivé venant de la Commission européenne dans lequel elle déroule clairement son idéologie verte totalement hors-sol.

Le ton est donné et l’idéologie qui va avec !

Non, la baisse de la biodiversité n’est pas liée à la pratique de la chasse.

Les chasses traditionnelles sont dorénavant attaquées dans leur ensemble, en désignant clairement les palombières. Comme on peut le lire, la Commission estime qu’il vaut mieux tuer des oiseaux à l’aide d’une arme à feu, plutôt que d’utiliser des pratiques ancestrales de chasse transmises de génération en génération, qui ne concernent qu’un petit quota de prélèvement.

La Commission prend également bien soin de tenir la porte solidement fermée à toute discussion concernant la chasse des oies en février. Préférant continuer à autoriser l’abattage massif des oies en Europe hors période de chasse, du moment que les chasseurs français ne puissent pas en tuer quelques-unes en février, à destination de leurs assiettes.

Et comme si cela ne suffisait pas, s’ajoute à cette logorrhée anti-chasse, une liste exhaustive d’espèces menacées qui est aujourd’hui posée sur la table du ministère de la transition écologique.  Non messieurs les fonctionnaires européens adeptes de fake-news, la baisse de la biodiversité n’est pas liée à la pratique de la chasse !

La Commission européenne met sciemment en danger les traditions et les passions rurales de dizaines de millions de personnes au nom d’un militantisme qui n’a pas lieu d’être au sein de la Commission européenne.

Cette nouvelle attaque de la Commission européenne ne fait hélas que conforter l’idée que cette Europe ne symbolise plus ce message d’espoir qu’elle fut à sa création. Elle s’éloigne toujours un peu des sujets majeurs qui préoccupent pourtant l’ensemble des européens !

Elle met sciemment en danger les traditions et les passions rurales de dizaines de millions de personnes au nom d’un militantisme qui n’a pas lieu d’être au sein de la Commission européenne.

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